Relais des Côteaux 2008

ODARS - 07/12/2008

Compétition en relais prévue pour ce dimanche. Ce n'est pas un objectif, ni principal ni préparatoire. Je ne suis là que pour me faire plaisir donc si : un objectif ... ludique.
C'est sympa la course en relais : c'est un peu le bordel ambiant, on court dans tous les sens, avant le relais, pendant bien sûr et après pour rejoindre la voiture pour le relais suivant :-) ...
Je fais partie de l'équipe estampillée "N°1" dans laquelle courent dans l'ordre : Jean-Marc, moi, Oswald, Benoit puis Yann. C'est l'équipe la plus rapide parmi les 4 engagées et mon relais se trouve être le même que celui de l'an dernier.
On laisse Jean-Marc s'échauffer pas loin de la ligne de départ pour rejoindre le départ du second relais. Arrivé sur place, je trottine sur le parking pour m'échauffer puis l'heure avancant je me rapproche de la zone de relais (pour ne pas louper l'arrivée de Jean-Marc) en faisant des petits allers-retours pas loin du passage de relais. Apparemment ça ne suffit pas puisque j'entends gueuler mon nom et en catastrophe je touche la main de Jean-Marc qui poirautait depuis presque une minute ... ça commence bien ... et je m'élance enfin.
Le départ débute par un faux-plat montant au cours duquel je ne compte pas aller trop vite. Le débriefing approuvera puisque je suis parti moins vite que l'an dernier sur le premier kilomètre. Ensuite petite descente au cours de laquelle je vois apparaître à mes côtés un cycliste à la casquette reconnaissable : c'est Norbert ... qui me suivra tout le long du relais. Merci à lui, l'initiative est sympathique. Il ne me parlera quasiment pas tout du long (il est là pour m'observer le bougre) et c'est tant mieux ... faut garder du souffle ! Juste de petits conseils pour la gestion des descentes : basculer un peu sur l'avant, bien dérouler le pied, laisser aller vers l'arrière les pieds après la foulée, etc.
Maintenant une longue montée de 2 bornes qui débute au second kilomètre au cours de laquelle une nana m'enrhume ... bon rythme ... bravo ! Moi je maintiens un rythme régulier et ça tient. S'ensuit une descente en virage d'1 km au cours de laquelle j'essaie d'appliquer les préceptes de maître Norbert. Ensuite avant-dernière remontée, re-petite descente et dernière remontée un peu dure à avaler et où je cale un peu (second temps au kilomètre à être en dessous de celui de l'an dernier). C'est sans doute du à la forte pente mais aussi et surtout aux près de 7 bornes déjà avalés. Ensuie bonne descente qui termine droit vers un ligne de chemin de fer : ça ressemble à une arrivée mais ce n'en est pas une ... ayant fait le trajet l'an dernier je le sais :-) Ca tourne à gauche et puis c'est une longue ligne droite de plus d'un kilomètre. Norbert connaissant également le parcours me booste pour que j'accélère et pour que je double des concurrents. S'il n'avais pas été là, j'aurais attendu bien plus longtemps avant d'accélérer : et oui je suis une feignasse qui n'aime pas trop se faire mal :-) A 200m de l'arrivée on passe sous la voie SNCF et là je donne tout ce qui me reste, le souffle n'est pas extra mais bon je fais quand même 16km/h de moyenne sur le dernier kilomètre ! Ce qui fera dire à Norbert que j'en avais encore sous le pied et que je vaux mieux que le temps réalisé.
A propos de temps réalisé, je laisse de côté les temps officiels assez fantaisistes pour juste indiquer le gain par rapport à l'an dernier : plus d'1'30 de gagnée ... c'est bien :-) même si je pensais secretement et prétentieusement atteindre les 14 km/h de moyenne. Je me contenterai de 13.7 ...

Relais des Côteaux - Edition 2008
Date : Dimanche 07/12/2008 à 9h30
Temps officiel : 36'57
Temps réel : 37'11

Boucle du Confluent 2008

Coincés juste derrière l'arche gonflable sur le trottoir on est prêt à partir, Luc et Nathalie à mes côtés.

Mon objectif est de vérifier si je suis prétentieux de prévoir une allure de 4'15 au kilomètre (42'30) pour le 10km objectif de la Corrida de Lescure d'Albigeois le 4 janvier 2009. Bref, je veux faire aujourd'hui ce 5KM à l'allure de mon 10KM objectif et voir si, psychologiquement, je serai prêt à faire le double en maintenant l'allure.

J'appuie sur la touche START de mon cardio-GPS en passant sous l'arche ; il n'y a pas de tapis puce donc le temps officiel sera basé sur le coup de feu du départ et l'arrivée sur le tapis électronique.

Il y a un peu de monde et j'ai l'impression que ça n'avance pas tant que ça alors je slalome et me faufile. Je dépasse Nat qui était partie un peu devant puis un gars à casquette et boucle d'oreille ... c'est Mic31 le "roi des Citadelles" comme je plaisante à lui rappeler. Je pars sur une allure un peu au feeling en essayant de me remémorer mes séances (en faible nombre) de 1000m allure 10km autour de la piste. Mais bon comme toutes les premières répétitions sur piste, je pars trop vite ... Grrrr !!! 4'02 au 1er kilomètre et on arrive sur les bords de Garonne.

Le parcours a un peu changé depuis l'an dernier et ils ont rallongé la partie le long de la Garonne (enfin il me semble) et c'est tant mieux, c'est la partie sympa ... malgré un sol souvent en béton et qui, mouillé, avec quelques virages et parfois en descente, est souvent glissant. Le second kilomètre est toujours trop rapide avec 4'10 au compteur mais logiquement, je me calme un peu (et oui c'est dur le 5KM comme allure à tenir !) et je cours le 3ème kilomètre en 4'19.

Forcément, autant quand mon temps est en dessous de mon objectif je ne me presse pas pour ralentir mais dès que mon chrono est légèrement au dessus, je "panique" à l'idée de ne pas tenir ce foutu objectif :-) c'est con hein ? Du coup lorsqu'on quitte la Garonne, j'essaie de remettre un peu de rythme mais avec un faux plat qui s'y met et la fatigue qui commence à s'installer mon 4ème kilomètre se fait en 4'17 ... pas trop mal mais il faut maintenant tenir et je commence à entendre ahaner autour de moi.

Luc qui court avec moi depuis le début tient bien le rythme et je suis étonné qu'il ne me largue pas. Sur la fin, il me passe quand même devant mais je tiens toujours 2-3 mètres derrière lui.

Au sol, des marquages bienvenus nous indiquent la distance restant à couvrir. Après le dernier virage et voyant l'arche d'arrivée à une centaine de mètres, j'accélère pour finalement doubler Luc qui termine sur son rythme de croisière. Je termine comme après un sprint c-a-d un peu essoufflé mais pas vraiment marqué par cette épreuve que, pourtant, je redoute en général.

Chrono officiel de 21'25 mais sur un parcours officiellement de 5,080 km. De mon côté, Garmin m'indique un passage au 5ème kilomètre en 21'01.

J'ai donc couru trop vite par rapport à l'objectif fixé de 14" et surtout, je ne me vois pas courir à ce rythme (même un poil plus lentement) encore 5 bornes. Mais bon, avant de revoir l'objectif de début janvier à la baisse, je pense quand même manquer de travail de VMA et de vitesse spécifique 10km depuis la fin de récupération du marathon. Je ne m'inquiète donc pas outre mesure et après qu'une semaine de reprise réelle de la VMA, je vais m'appliquer à travailler l'objectif et je pense tout de même réalisable les 42'30 initialement prévus.

Ah oui un dernier petit détail : Nathalie a terminé troisième féminine au scratch et seconde en Senior Femme ;-)

Saison 2008-2009

Cette saison a débuté avec un objectif marathon, celui du Grand Toulouse. Pour la suite, j'aimerais améliorer mes chronos sur 10km et en parallèle me faire plaisir sur des trails de distance moyenne (20 km).

Pour terminer, j'aimerais participer fin juin à un des trails des "Burons". Le "marathon" (qui passe à 46km cette année) avait été proposé par Christian en fin de saison dernière et même si je ne suis plus dans son groupe l'idée reste bonne. Cependant, je me pose la question d'une cohérence de cet éventuel objectif avec l'amélioration de mes temps sur 10km ... Peut-être que le trail des Capucins (dans les 20 bornes) serait suffisant ? ...

Saison 2007-2008

La dominante de cette saison a été la course sur route avec la (re)découverte des distances "standards" de course hors-stade : le 10km et le semi-marathon. On a également participé à deux trails ... heureuse expérience qui pousse à être réitérée !

Saison 2006-2007

Ayant débuté la CAP en mai 2007, le nombre de courses sur cette saison n'affole pas les compteurs ...

Marathon Toulouse 2008

Toulouse, dimanche 26/10/2008 - 09h25 ...

Pas de stress particulier avant le départ.
Pas d'échauffement (ou presque ... 100m de micro-footing) ni d'étirements non plus d'ailleurs. Peut-être devrais-je le regretter pour plus tard ?
Bon je récapitule ma gestion de course envisagée : Régularité le plus longtemps possible avec 5'12 au kilomètre, des arrêts "marchés" de maxi 45s (ça c'est du chronométrage prévu :-) !) avec prise d'un gel énergétique au 10, 15, 20, 25, 30 et 35ème km, et de l'eau tous les 5km dès le début. Ben voilà ... y plus qu'à désormais ! :-)

Départ un poil plus rapide sur les 2 premiers kilomètres mais sinon très facilement je me cale sur les 5'12 prévues.
Dès le début j'ai ma contracture (habituelle) au mollet gauche qui revient. Ce n'est pas une douleur mais plutôt une gêne. Bizarrement, elle n'apparait généralement que sur des séances longues sur piste et la dernière date d'il y a plus d'une semaine et depuis je n'avais plus rien senti.
Ça me fait déjà douter de mes capacités à finir mon 1er marathon et j'essaie de ne pas y penser, de me relâcher et surtout de ne pas modifier ma foulée (fréquence, amplitude) ; bref : soyons cool, zeennnnn :-)
Je crois que les ballons blancs (3h45) me doublent au niveau de la rue de Metz, donc dès le début, mais je ne comptais pas les suivre de peur qu'il partent trop vite (comme j'ai pu le constater l'an dernier en tant que spectateur).
Au 5ème km, je ne m'arrête pas, comme prévu, et je bois à la bouteille que j'avais prise avec moi au départ.
En arrivant au 10ème km, la gêne du mollet semble se dissiper petit à petit. Je m'arrête quelques secondes pour boire (+gel) au ravito et j'en profite au cas où pour faire un (micro) étirement ... sait-on jamais ? Je prends également une pastille de sporténine "prescrite" par madame contre d'éventuelles crampes.
Peu après le 10ème, ça y est, on dirait que c'est parti, je suis désormais plus optimiste pour la suite même si en même temps je me demande si le fait que je sois maintenant chaud ne pourrait pas masquer un problème qui pourrait ressurgir plus loin avec le risque de devenir cette fois ... bloquant.

Bon ben c'est aussi parti pour de bon pour ce premier marathon car nous prenons la direction tout droit tout à l'opposé du centre-ville en direction de la Ramée avec le petit passage que je ne craignais pas vraiment vu notre faible kilométrage et qui passe nickel : la montée d'avenue de Lombez, le long de l'hippodrome. Présentation, coucou rapide puis dépassement de Lolo (de la Molo's Team) qui, avec un autre coureur, cherchent des "excuses" sur une montée soit-disant plus rapide pour certains ... arguments de poids je crois ;-)

Ravito du 15ème : Quartier de Lardenne assez plat avec du public sympa ... comme avant et comme après d'ailleurs ... mais faut bien le préciser à un moment :-) Sinon toujours de bonnes sensations. Je transpire, mais bon normal. Je vois à un moment un "supporter" en chaise roulante et, c'est très con, mais je me dis que si j'ai des soucis vers la fin, repenser à sa situation pourrait me faire botter le cul, bizarre ... on n'oublie pas le ravito avec gel+eau et j'en profite pour m'asperger un peu. Il ne fait pas hyper chaud mais il faut veiller à évacuer les 80% d'énergie que mes muscles transforment en chaleur (rendement de m....)
On passe par la Ramée, ravito du 20ème kilo : eau+gel+eau sur la gueule, je marche quelques secondes comme prévu. le parcours est tout plat, nickel.
On passe sur le tapis des 21km et je ne regarde pas mon chrono de passage. Je me contente juste de contrôler que mon km se passe aux alentours des 5'12 prévus. En fait, je ferai ça jusqu'au bout et je trouve ça pas mal : ça ne me met pas la pression sur un éventuel chrono avec du retard ou de l'avance à gérer ... je gère étape par étape, km par km.
Sortie de la Ramée et direction vers Tournefeuille, ça y est le vrai marathon commence ... comme prévu je me motive en me disant plutôt : "Bon maintenant que je me suis échauffé, commençons un semi pour voir :-)"
On oblique à droite sur une longue avenue qui va droit vers la rocade arc-en-ciel, je croise une connaissance sur le côté qui m'encourage, sympa d'être venu. Au loin, j'aperçois les ballons blancs. Bon ben c'est toujours rassurant.
25ème km : eau+gel+eau sur la gueule lors d'une pause marche hyper-rapide.
J'ai toujours les ballons blancs en contact visuel jusqu'au Mac-Do entre Tournefeuille et Colomiers où je les double tout en conservant mon rythme ... encore plus rassurant. Juste un micro souci : en me décalant pour doubler et en dépassant (allongement de ma foulée sans doute) j'ai des micro-crampes qui apparaissent aux mollets par çi, par là ... mais je reprends une foulée "standard" et ça passe ... Ouf !
Passage dans une zone en construction, pas folichonne mais bon ça passe vite et puis il fait beau.
Colomiers, on redescend vers un grand rond-point avec fontaine, je croise à nouveau une connaissance qui m'encourage et qui prend même la peine de courir quelques mètres avec moi ... on se croirait sur le tour de France ma parole. En tout cas merci à lui, ça fait plaisir.
Ravito du 30ème : Je marche quelques instants comme prévu. Je me demande si j'ai pris ma "Sporténine du 20km" : j'ai oublié ou pas ? Meeerde les crampes, je sais pourtant que j'y suis sensible ... Allez hop je croque une pastille (supposée) magique et tant pis pour celle que j'ai (peut-être) oubliée ; je rajoute mon gel de tous les 5 bornes et hop encore de l'eau sur la gueule, ça rafraichit ... mais avec l'eau froide d'un coup dans le dos, je me contracte et là des petites crampounettes qui apparaissent ... Grrr pour se dissiper quand même après ... ouf !
Bon ben au fait ze famous "mur" iléou ? Ben pas de mur ... j'ai toujours de l'énergie, pas de douleurs musculaires, le palpitant qui palpite comme il faut ... ben tant mieux, continuons donc sur ce rythme !
D'ailleurs, petite interrogation concernant ma FC : dès le départ elle était assez haute (86 à 88%). Ce qui peut paraitre assez logique avec un certain stress mais cette andouille de FC reste à ce niveau jusqu'au 20ième donc petit doute quand même ... puis tout doucement elle se met à descendre pour naviguer à 83-85%. Elle restera à ce niveau jusqu'au 40ème (où j'aurai à forcer un peu ... quand même) pour ensuite atteindre près de 90% sur la ligne d'arrivée.
Bon finalement entre ce 30ème et le 36ème ce sont les fameuses crampes qui s'installent petit à petit ; la fréquence de retour de l'une d'entre elle sur l'un ou mes deux mollets à la fois augmente avec le kilométrage qui avance ... Grrrrr !!! Bon ben je crois savoir ce qui va me limiter : ce ne sera ni l'épuisement, ni le cœur qui s'emballe mais ces put... de crampes.
Au passage sur le bas côté je commence (et oui il y en aura de plus en plus sur la fin) à apercevoir des coureurs qui marchent et d'autres qui font des étirements.
C'est pas pour autant que je vais baisser mon allure, non mais des fois ! Je continue mais la petite descente a priori sympa qui nous amène au pont de Blagnac au dessus de la Garonne me crée encore plus de "contractions involontaires" qui m'obligent juste avant le pont à tenter des étirements en mimant de pousser une voiture. Quelques secondes et hop je repars, je vais pas y passer la journée non plus ... montée puis descente du pont ... "Des clous oui les étirements !!!" Les crampes reviennent de plus belle, mais elles sont sympas et évoluent, elles reviennent plus longuement, plus fréquemment et ça commence à faire mal de maintenir le même rythme avec, à chaque pas, progressivement les crampes qui ne partent plus :-(
Sur les côtés de la route des coureurs se retrouvent allongés, certains sont assis/couchés sous la tente blanche de la croix-rouge avant le stade toulousain ... aaah oui c'est ça aussi le marathon, mince j'avais oublié ; n'y pensons plus !
Entre le 40 et le 42ème kilo c'est dur dur ... mais finalement je tiens toujours mon rythme de 11.5/11.6 km/h et je double malgré tout pas mal de marcheurs et coureur plus lents que moi. C'est dégueulasse comme pensées d'être content de doubler mais pour le moral en fin de course, je sais pas si on peut trouver mieux avec les moyens du bord.
En remontant au niveau des ponts jumeaux (et oui ça monte ... aïe), je rejoins un pote de mon groupe au club qui était parti avec les 3h30 mais qui m'annonce avoir eu un coup de mou après le 30ème. On continue ensemble. Arrivés à 500m de l'arrivée, il me dit "j'en peux plus" ou un un truc du style et petit à petit je te le vois pas accélérer (façon de parler parce qu'on était pas trop frais non plus) ? Je vais pas me laisser griller au sprint, non mais quand même :-) ! On finira ensemble.
Je m'arrête 2 secondes après la ligne d'arrivée, aie aie, contracté de partout je n'ai plus trop d'appuis sûrs, je manque de perdre mon équilibre et me viander :-) mais putain que je suis heureux !!!
En bref : ligne d'arrivée atteinte, vivant, en pas trop mauvais état, en courant tout le temps sauf aux arrêts prévus et en étant en dessous de mon chrono objectif de 3h45, que du bonheur ... et déjà l'envie de recommencer ;-)


Marathon du Grand Toulouse - Edition 2008
Date : Dimanche 26/10/2008 à 9h30
Temps officiel : 3:43:03
Temps réel : 3:41:36

Création du blog

En cette veille de jour des morts, une naissance ...

Le blog de Shadock !

Pourquoi un blog ?

J'avais le désir de créer un site Web perso afin de regrouper des infos concernant ma pratique de la Course à Pied mais mes connaissances dans le domaine informatique étant plus que limitées, ça faisait longtemps que l'option Blog me titillait ... Ayé, j'ai franchi le pas :-) !

Pour y mettre quoi ?

Pour commencer, le but sera de faire profiter, très bientôt, à qui veut de mon premier compte-rendu de course, et quelle course ! puisqu'il s'agit du marathon de Toulouse édition 2008 !!!

Voili, voilo